Un documentaire de Flaflut, cinéaste officiel du ChOC ;)
Plus d’infos :
http://lecridubulot.org/
http://acipa.free.fr/
Un documentaire de Flaflut, cinéaste officiel du ChOC ;)
Plus d’infos :
http://lecridubulot.org/
http://acipa.free.fr/
Plus d’infos (et plus de liens à venir) :
http://www.haute-normandie-decroissance.fr/un-projet-de-decroissance/
http://www.projet-decroissance.net/?p=207
http://www.projet-decroissance.net/?p=550
http://revenudebase.info/2012/09/revenu-base-utopie-revolution-realite/
http://www.editions-utopia.org/
Dans toutes les bonnes librairies à partir du 25 janvier 2013
158 pages, 7 euros
« Sans un minimum de ressources, le nouveau citoyen ne peut vivre pleinement les principes républicains de liberté, d’égalité et de fraternité », déclarait Thomas Paine en 1792. Et pourtant deux siècles plus tard cette idée semble être restée lettre morte. Les produits de haute nécessité ne sont toujours pas accessibles à tous : logement, alimentation, vêtements, énergie et eau potable, éducation, santé, convivialité.
Et pourtant nos sociétés, qui n’ont jamais été aussi riches, s’arcboutent sur l’accumulation croissante de richesses pour atteindre cet idéal. Et si la résolution des inégalités ne passait pas par une croissance infinie ?
A travers la critique radicale de la société de Croissance, du développement, du capitalisme et du productivisme, les objecteurs de croissance proposent un outil économique, social et d’émancipation, permettant d’échapper aux effets d’une récession sans en appeler à toujours plus de croissance. La DIA (Dotation Inconditionnelle d’Autonomie), couplée à un Revenu Maximum Acceptable (RMA), est un outil pour sortir de l’impasse destructrice vers laquelle nous entraîne toujours plus vite la société de Croissance.
Au-delà d’un simple correctif, la DIA vise à susciter dialogues et débats sur ce qu’est le « vivre ensemble », sur la manière de créer « plus de liens » sans pour autant créer « plus de biens ».
Ce manifeste pour une DIA débute par les origines de la Décroissance et propose des pistes, des réflexions susceptibles d’initier une transition sereine et démocratique vers des sociétés écologiquement soutenables et socialement justes.
En cela, il représente un projet de Décroissance.
Un projet de Décroissance, Manifeste pour une Dotation Inconditionnelle d’Autonomie (DIA), Vincent Liegey, Stéphane Madelaine, Christophe Ondet et Anisabel Veillot, éditions Utopia, janvier 2013.
Ingrédients (pour 8 personnes) :
-250g de farine (la farine pour le pain complet 110 va aussi pour les gâteaux !!!)
-1 sachet de levure chimique (poudre à lever bio)
-125g de sucre en poudre (quand fait-on retourner l’usine de Colleville qui transformait betteraves en sucre ? Les Sucriers de Colleville Film d’Ariane Doublet Documentaire français avril 2004, 90 minutes)
-3 cuillères à soupe de lait (lait d’avoine ou jus d’orange ou autre…)
-125g de miel liquide ou fondu (on peut mettre aussi confiture orange amère ou autre …)
-facultatif : jus d’orange ainsi que des écorces d’oranges coupées en petits morceaux (zeste). Pas facile de trouver du local !
Epices : pas facile de trouver du local , non plus!
-1/2 cuillère à café de cannelle
-1/2 cuillère à café de girofle moulu
-1/2 cuillère à café de gingembre moulu
-1 cuillère à café de vanille en poudre
Moi, je mets un peu plus de chaque. Si vous n’avez pas tout ça et si vous allez de temps en temps dans les grandes surfaces, il existe une petite bouteille 4 épices qui fait l’affaire…mais bon faire son mélange soi-même c’est sympa.
Préparation
– Préchauffer le four, à thermostat 5 (150°).
– Dans un saladier, mélanger la farine avec un sachet de levure. Ajouter le sucre et les épices, puis rajouter du liquide et du miel.
– Bien mélanger. Rajouter si vous le désirez le jus d’orange ainsi que les zestes d’orange.
– Versez cette préparation dans un moule à cake beurré.
– Faire cuire 35/40 minutes.
Bref :
– le pain d’épice de Mélanie a eu un succès fou
– 50 personnes ont vu « simplicité volontaire 1 » et 40 ont vu « sous la pavés la terre ».
– les films ont laissé des traces dans les consciences. Les ressentis à chaud étaient émouvants
– les débats informels d’après la projection ont été conviviaux, et on duré jusqu’au milieu de la nuit.
– vu dans le film : http://www.change.org/
Rappel
– « simplicité volontaire 1 » de Jean-Claude Decourt
– « sous les pavés la terre » de Thierry Kruger et Pablo Girault
Le collectif NDDL de l’agglomération havraise : collectif-nddl-lehavre@lists.
Très belle affiche collector, à diffuser et coller partout sur les murs de la ville !
N’hésitez pas, le fichier pdf est ici. Merci
Le 17 novembre, journée nationale de soutien aux personnes en lutte dans la Zone A Défendre de Notre Dame des Landes, des rassemblements sont organisés un peu partout à l’appel des différents collectifs locaux de solidarité regroupant citoyens, associations, et organisations d’horizons divers.
A Rouen, le rendez-vous est fixé à 14h à la Gare. Le communiqué du collectif Rouennais
Au Havre, à 14h30 au parvis sud de la ZAC Coty. Le communiqué du collectif havrais
(contact : collectif-nddl-lehavre@lists.riseup.net)
Plus d’infos et de détails sur les rassemblements en France : http://zad.nadir.org/spip.php?article566
Jeudi 15 novembre, à 18h, au Be Pop Café (rue G. Braque, Le Havre), nouvelle édition du café décroissance sur le thème
Décroissant des villes, décroissant des champs ?
Il ne s’agit pas d’opposer la ville et la campagne. Il s’agit d’explorer les facilités et les difficultés de vivre la Décroissance en ville et en campagne. Que ce soit à titre individuel ou au niveau de la société.
C’est un débat sans fin, sur l’énergie, les transports, la densité, le lien, la pollution, l’entropie, la néguentropie (sic), la culture, l’agriculture, la qualité de vie, etc… donc prolixe à toute ouverture vers tous les sujets concernent l’objection de croissance.
L’occasion d’échanger sur nos visions de la décroissance, les expérimentations concrètes des uns et des autres et surtout de partager un moment convivial.
Le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, destiné à remplacer en 2017 l’actuel aéroport de Nantes Atlantique, a été validé par l’État et les collectivités locales socialistes. Celui-ci est devenu le symbole des Grands Projets Inutiles Imposés (GPII).
8 mai 2012 un accord avait lieu entre une délégation du parti socialiste de Loire-Atlantique et des paysans alors en grève de la faim, qui s’opposaient aux expropriations et expulsions des terres de Notre-Dame-des-Landes. Un moratoire stoppait alors toute expulsion et suspendait les travaux. L’engagement était pris qu’ils pourraient rester dans leurs fermes jusqu’à la fin des derniers recours concernant les procédures engagées.
16 octobre 2012 : les occupant-e-s de la ZAD (Zone A Défendre), et des soutiens extérieurs, résistent aux expulsions et tentent de réoccuper les lieux vidés de leurs habitant-e-s. Les forces militaires en présence sont d’une ampleur sans précédent et lancent chaque jour des opérations de grande envergure afin de les en empêcher. Le silence des médias restent assourdissant.
L’abus de la violence légitimé par le gouvernement est inquiétant. Les protestataires sont inondés de gaz lacrymogène, les interpellations se font à tour de bras, comme si agir manu militari était l’unique alternative de notre société dite démocratique.
Au-delà du soutien physique, moral, politique que le Parti Pour La Décroissance apporte à cette résistance légitime, pour la préservation d’un vaste territoire de bocage unique et de terres agricoles, se perpétue la question de la légitimité de ces trop nombreux grands projets inutiles imposés et nuisibles (LGV, autoroutes, EPR, Laser Mégajoule…).
Dominique Fresneau, président de l’Acipa, principale association d’opposants le rappelle si bien : « Nous comptons en France déjà 145 aéroports (contre 47 en Allemagne, 37 en Angleterre) » …sommes-nous à ce point obstinés à dilapider l’argent public dans la poursuite de tous ces projets pharaoniques sur la pure spéculation de besoins futurs ? Continuer la lecture
Les difficultés de circulation dans l’agglomération du Havre devraient encourager les moyens de transports alternatifs à l’usage des voitures individuelles… pour mieux vivre la ville.
Si demain, un tramway, dont certain-es d’entre nous ont exprimé le désir depuis très longtemps, peut améliorer l’offre de transport, c’est dès aujourd’hui que les responsables des collectivités territoriales pourraient proposer la gratuité des transports collectifs ou des prêts permanents de bicyclettes ordinaires ou électriques.
La gratuité permettrait aussi de corriger certaines injustices comme l’abonnement aux transports d’un-e salarié-e moins couteux que celui des scolaires et étudiant-es. Nous pourrions ainsi échapper à la nouvelle carte à puce qui autorise une surveillance totale des moindres déplacements des usagers.
Le courrier adressé en Juin 2012 à la communauté d’agglo et à la chambre de commerce pour ouvrir le débat sur la gratuité est resté sans réponse sérieuse. Pourtant, le prix payé par l’usager couvre très partiellement (20% en moyenne) le coût des transports publics. La gratuité totale, qui pourrait être compensée par le versement direct des contributions employeurs, a démontré là où elle était mise en oeuvre (Aubagne, Châteauroux, Hasselt… ) qu’elle était extrêmement efficace pour améliorer notre environnement, diminuer le traffic des véhicules individuels et changer la vie en ville.
Premiers soutiens :
Solidaires au Havre, CGT Le Havre, CFDT Le Havre, UNEF, Sud Etudiant,AC!, Femmes Solidaires, CHOC, PG, FASE, NPA
Pétition :
pour des transports gratuits dans l’agglomération du Havre !
Dans l’agglo du Havre aussi, les transports publics ça peut rouler pour nous ! Les personnes soussignées réclament des discussions immédiates entre collectivités territoriales, représentant-es des patrons, des salarié-es et des usagers, directions des entreprises de transports publics pour très vite mettre en place la gratuité totale des transports publics.
signatures en ligne : http://www.
Quelques 25 personnes étaient présentes à ce caf’ dec’ qui avait lieu au Be-Pop Café, dont un tiers de nouvelles têtes. Après une brillante présentation de Frédéric sur les différents chemins de transition vers une société post-croissance, le dialogue s’engage.
La tradition est respecté. La question du mot Décroissance qui est tout de suite levée, mais c’est surtout de la difficulté du renoncement à la croissance comme synonyme de progrès, qu’il est discuté. Bien qu’il y ait consensus sur le fait qu’il faudrait moins consommer, vivre différemment, il y a eu un grand débat sur les conditions du changement. Est-ce qu’il est possible de moins consommer sans changer de la société, son mode de gouvernance, son modèle économique, son imaginaire culturel ? Ce débat n’a pas abouti, puisque tous les points de vue étaient représentés : changement individuel, l’écologie n’est pas politique, et la vision anticapitaliste et antiproductiviste.
Puis les questions énergétiques ont été abordées. Elles ont débouchées sur la centralité de la valeur travail et sur la notion d’usage. Ce fut l’occasion de présenter assez précisément, la Dotation Inconditionnelle d’Autonomie, ses principes (droits de tirages, monnaies, revenu max), ses causes et conséquences, la proposition centrale de transition sereine et soutenable vers l’après croissance
Puis un délicieux repas, offert par Stéphanie, a été partagé entre toutes celles et ceux qui ont eu la bonne idée de rester trainer à parler de décroissance, d’alertes Seveso, d’amour, des magnifiques bouteilles de soda, du thème du prochain caf’dec’, de jardinage, de rock’n’roll, etc… C’était très émouvant. La nuit a été courte.
Merci à toutes et tous. Merci à Stéphanie pour son accueil
Le prochain Caf’Dec’ serait prévu au mois de septembre. Un « marché gratuit vraiment gratuit » est envisagé avant la rentrée. Les bonnes volontés sont bienvenues.